Création le 26 février 2014
Modification 1 le 2 mars 2014
Le succès n'est pas la clé du bonheur. Le bonheur est la clé du succès. Si vous aimez ce que vous faites, vous aurez le succès.
(Bouddha)
Ce qui suit n'est pas un cours de bouddhisme, mais ce que l'on peut voir dans la rue ou sur la route quand on est en Birmanie.
Bouddha n'est pas un Dieu, mais un professeur. On s'efforce de suivre ses enseignements pour se réincarner dans une vie meilleure et autre.
Cela commence tout jeune : on est bonzillon, en retraite pour plusieurs mois : sa vie est simple : petit déjeuner, méditation, déjeuner, puis plus de nourriture solide jusqu'au lendemain.
La vidéo :
Parfois, on rencontre sur la route une procession de novices :
Suivie d'éléphants, le tout en costume traditionnel :
À Rangoun, les bonzes se font plus discrets dans la circulation automobile, mais circulent dans les marchés.
Les stupas sont des réceptacles des reliques de Bouddha. Certaines viennent de Ceylan. Si on n'a pas de reliques, on enfouit un texte de Bouddha. (version moderne, un disque dur contenant les préceptes de Bouddha fera l'affaire)
Puis on construit un stupa par dessus, comme une série de cloches superposées en briques, recouvertes d'un enduit doré à la feuille d'or.
Les stupa les plus célèbres se trouvent à Bagan, et à Rangoun.
Ici, le poids de l'or est de 60 tonnes ; au sommet du stupa, une sorte de lustre d'où pendent des pierres précieuses. Lorsqu'elles se détachent, des bonzes se chargent de les ramasser.
Et les longues oreilles des statues signifient que Bouddha est constamment à l'écoute ... Pour qu'il n'ait pas froid, on peut revêtir la statue d'un manteau.
Cette piété est millénaire. Des milliers d'édifices sacrés forment en Birmanie un gigantesque patrimoine de l'UNESCO, en restauration et en construction permanente.
Cette piété est millénaire. Des milliers d'édifices sacrés forment en Birmanie un gigantesque patrimoine de l'UNESCO, en restauration et en construction permanente.
