Modification 3 : 27 février 2014
Ainsi parla le philosophe chinois : " Une lumière sur la colline est plus utile que cent dans la vallée ".
Donc, nous allons sortir des sentiers battus par les troupeaux d'Occidentaux et prendre de la hauteur pour évoquer les tribulations d'une jeune femme qui s'est immergée pendant un mois dans l'Empire du Milieu.
Tout d'abord la préparation : il faut savoir que les Chinois parlent … le chinois. Un apprentissage minimal de la langue n'est donc pas inutile, sous peine de suivre l'exemple - cité par un Guide Touristique - de ce Monsieur qui, pour se présenter devant un auditoire chinois, voulant dire "Je suis un diplomate", et fier de sa science toute fraîche, a fait s'étrangler de rire la salle en lui confiant " Je suis un coude en pvc " !
L'écrit étant proscrit, car trop compliqué en temps limité, reste la méthode orale - avec phonétique pinyin - en vente dans les bonnes librairies. Tous les jours pendant au moins un mois répéter cent fois le CD, jusqu'à la perfection ( que tu crois ! ) …
En souvenir de Tintin du Lotus bleu, nous surnommerons cette jeune femme Titine.
L'écrit étant proscrit, car trop compliqué en temps limité, reste la méthode orale - avec phonétique pinyin - en vente dans les bonnes librairies. Tous les jours pendant au moins un mois répéter cent fois le CD, jusqu'à la perfection ( que tu crois ! ) …
En souvenir de Tintin du Lotus bleu, nous surnommerons cette jeune femme Titine.
Jean Kersco
- Après avoir récupéré vos valises, vous avez pris un taxi pour vous rendre à votre hôtel …
Titine
- Le chauffeur ne connaissait pas l'hôtel et m'a conduite à un restaurant qui avait le même nom. Prudente, mais pas téméraire, je n'ai pas renvoyé le taxi pendant la discussion animée, qui nous a finalement conduit à une rue impraticable aux voitures.
C'était bien mon hôtel, lequel a la particularité d'avoir été l'un des Q.G. ( quartiers généraux ) secrets de Mao Ze Dong, au cas où... D'ailleurs il y a un téléphone - rouge - au bout duquel un petit malin a greffé la voix de Mao soi-même. Au rez de chaussée la résidence, plutôt luxueuse, meublée d'époque, et au sous-sol : le bunker. Accueil de charme par la patronne, qui parle aussi l'anglais et l'espagnol, toute émoustillée d'entendre le soir le récit de mes aventures pékinoises diurnes.
Jean Kersco
- Vous avez donc commencé par des sorties à Pékin intra-muros ?

Titine
- Oui. Le métro en chinois. Mais avec des bornes où on peut obtenir son billet en anglais. Reste à s'arrêter à la bonne station, ceci pour visiter un petit temple taoïste, le Guide - pas le petit livre rouge, mais le Guide touristique - à la main, et retrouver enfin le soir mon hôtel, quelque peu fatiguée par le récent " jet lag ".
Simple promenade entre les "buildings" modernes flambant neuf et les rues anciennes typiques, du moins on le croit, car la méthode de rénovation est trop simple : on rase tout et on reconstruit à l'identique, avec le même savoir-faire ancestral. Si donc la Cité Interdite aux 9999 pièces était détruite, trois jours plus tard, elle renaîtrait intacte de ses cendres.
La semaine de trente cinq heures fait rigoler ici, c'est la journée de trente cinq heures qui prévaut. A propos de Cité Interdite, habituellement bourrée de Chinois, vous pourriez voir sur mes photos des cours immenses entièrement vides - sans l'aide de Photoshop - Je n'ai pas l'intention d'expliquer ce tour de magie.
- Oui. Le métro en chinois. Mais avec des bornes où on peut obtenir son billet en anglais. Reste à s'arrêter à la bonne station, ceci pour visiter un petit temple taoïste, le Guide - pas le petit livre rouge, mais le Guide touristique - à la main, et retrouver enfin le soir mon hôtel, quelque peu fatiguée par le récent " jet lag ".
Simple promenade entre les "buildings" modernes flambant neuf et les rues anciennes typiques, du moins on le croit, car la méthode de rénovation est trop simple : on rase tout et on reconstruit à l'identique, avec le même savoir-faire ancestral. Si donc la Cité Interdite aux 9999 pièces était détruite, trois jours plus tard, elle renaîtrait intacte de ses cendres.
La semaine de trente cinq heures fait rigoler ici, c'est la journée de trente cinq heures qui prévaut. A propos de Cité Interdite, habituellement bourrée de Chinois, vous pourriez voir sur mes photos des cours immenses entièrement vides - sans l'aide de Photoshop - Je n'ai pas l'intention d'expliquer ce tour de magie.
Toujours à propos de la Cité Interdite qui fut l'objet d'un coup de foudre de la part des dieux malins, d'énormes jarres en bronze ont été disposées ça et là pour servir de réserve d'eau. Lorsqu'il fait trop froid, on maintient un feu sous les jarres pour éviter la glace. Le gamin dans la jarre joue au pompier de service !
La meilleure protection contre ces dieux malins consiste à faire un mur devant la porte d'entrée de a maison, et le revêtir de dragons émaillés, l'équivalent de "Attention, chien méchant".
J. K.
- Ensuite vous avez "fait" la muraille de Chine …



T.
- Il y a deux sortes de muraille de Chine, celle d'Afflelou, "rénovée", et l'autre qui s'étend sur des milliers de kilomètres, "non rénovée". On se laisse dire que le premier cosmonaute a "vu" cet important ouvrage du haut de son habitacle. Il y a des histoire belges, des histoires suisses, on a maintenant des histoires "cosmonautiques". En voici une autre :
À son retour, le premier cosmonaute va trouver Kroutchev et lui dit :
- Je suis allé dans l'espace et j'ai vu Dieu."
- Pas un mot, lui répond Kroutchev, qui lui donne un million de roubles.
Le cosmonaute va ensuite trouver le Pape et lui dit :
- Je suis allé dans l'espace et je n'ai pas vu Dieu "
- Pas un mot lui répond le Pape, qui lui donne un million de lires.
Le cosmonaute va enfin trouver Kennedy et lui dit "Je suis allé dans l'espace et j'ai vu Dieu". Kennedy lui rétorque : "C'est tout à fait normal, et même sur nos billets de banque il y a marqué "In God we Trust".
- Oui, lui répond le cosmonaute, mais "Elle" est noire !
- Pas un mot lui dit Kennedy, et il lui donne deux millions de dollars.
Tout cela pour vous dire, que la "vraie" muraille de Chine est déserte, qui est un petit sentier au dessus de la végétation et que l'on parcourt à pied, de tour de garde en tour de garde. Cette muraille servait à relier les tours, dont les occupants avaient pour mission de rendre compte chaque fois que les Mongols arrivaient, avant de se faire couper la tête, soit par les Mongols, soit par l'Empereur, car les porteurs de mauvaise nouvelle étaient décapités.
J. K.
- Comme il y a une vie avant la mort, parlez-moi des temples ...

T.
- Il y a des temples ordinaires, et des temples extraordinaires. En voici un, aux colonnes en bois d'un seul tenant qui seraient "pharaoniques" si elles se trouvaient en Egypte. Il suffit de regarder le visiteur ( grandeur nature ) au pied de l'une de ces colonnes pour être pris d'un certain vertige.
Et on est pris d'un vertige certain en accédant à cet autre temple, accroché comme un tableau au flanc de l'à-pic. On n'a de cesse que de l'imaginer se décrochant par défaut de fixation. Pour rassurer les hardis touristes, les longues perches sous les temples ne sont que du "pipo".
Durée de l'expédition pour accéder à ce temple, à partir de Pékin : huit heures.
J. K.
- Parlez-moi de l'usage des couleurs.
T.
- La Chine en noir et blanc, cela n'existe pas. On dit que les Chinois sont jaunes, erreur, ils sont rouges, comme les petits pois. Même les fleuves sont en couleur, il y a le fleuve bleu, le fleuve jaune, les algues vertes ont peint les lacs en vert. Le rouge dominant haut la main, les vendeurs de pots de peinture rouge doivent faire fortune, avec une petite exception pour la couleur "jade" ( le jade vaut une fortune et porte bonheur ).
Conclusion : si vous voulez " voir rouge ", il faut aller en Chine, ou à défaut apprendre en boucle la video. Même la marié était en rouge (le blanc étant mal vu, car couleur de deuil ). Ségolène, si tu nous lis …
J. K.
- Quid de la nourriture ?
T.
- L'exposition "Cuisiner et manger en Chine", du 19 juin au 30 septembre 2012 au Musée des Arts Premiers - Quai Branly ( Paris ) était à voir si vous n'aviez pas l'intention de vous rendre en Chine pour une dégustation, car la cuisine en Chine est autre que celle présentée dans les restaurants chinois en France. Autrement dit : bien meilleure.
• Premier point : j'ai pu survivre un mois sans avoir recours à un seul bol de riz.
• Deuxième point : les "œufs pourris", qui sont appelés "œufs de cent ans" sont simplement macérés un certain temps, et excellents. Il y a un truc, mais chut !
• Troisième point : sur le marché, j'ai trouvé des larves, des serpents et autres friandises, que je laisse à d'autres le soin d'expertiser.
• Quatrième point : le canard laqué, découpé devant vous ( en général le chef vient terminer son art à la table ) est superbe.
• Cinquième point : les raviolis sont délicieux.
A boire : du thé, avec ou sans cérémonie, du vin de riz …

À un restaurant, j'ai eu la bonne surprise d'être abordée par un serveur qui m'a fait le grand jeu de la présentation des plats, le tout bien sûr avec componction et en chinois. Renseignement pris, ce n'était pas le serveur, ni le maître d'hôtel, mais … un client ! Heureux et fier de communiquer avec une noble étrangère.
- Il y a deux sortes de muraille de Chine, celle d'Afflelou, "rénovée", et l'autre qui s'étend sur des milliers de kilomètres, "non rénovée". On se laisse dire que le premier cosmonaute a "vu" cet important ouvrage du haut de son habitacle. Il y a des histoire belges, des histoires suisses, on a maintenant des histoires "cosmonautiques". En voici une autre :
À son retour, le premier cosmonaute va trouver Kroutchev et lui dit :
- Je suis allé dans l'espace et j'ai vu Dieu."
- Pas un mot, lui répond Kroutchev, qui lui donne un million de roubles.
Le cosmonaute va ensuite trouver le Pape et lui dit :
- Je suis allé dans l'espace et je n'ai pas vu Dieu "
- Pas un mot lui répond le Pape, qui lui donne un million de lires.
Le cosmonaute va enfin trouver Kennedy et lui dit "Je suis allé dans l'espace et j'ai vu Dieu". Kennedy lui rétorque : "C'est tout à fait normal, et même sur nos billets de banque il y a marqué "In God we Trust".
- Oui, lui répond le cosmonaute, mais "Elle" est noire !
- Pas un mot lui dit Kennedy, et il lui donne deux millions de dollars.
Tout cela pour vous dire, que la "vraie" muraille de Chine est déserte, qui est un petit sentier au dessus de la végétation et que l'on parcourt à pied, de tour de garde en tour de garde. Cette muraille servait à relier les tours, dont les occupants avaient pour mission de rendre compte chaque fois que les Mongols arrivaient, avant de se faire couper la tête, soit par les Mongols, soit par l'Empereur, car les porteurs de mauvaise nouvelle étaient décapités.
J. K.
- Comme il y a une vie avant la mort, parlez-moi des temples ...

T.
- Il y a des temples ordinaires, et des temples extraordinaires. En voici un, aux colonnes en bois d'un seul tenant qui seraient "pharaoniques" si elles se trouvaient en Egypte. Il suffit de regarder le visiteur ( grandeur nature ) au pied de l'une de ces colonnes pour être pris d'un certain vertige.
Et on est pris d'un vertige certain en accédant à cet autre temple, accroché comme un tableau au flanc de l'à-pic. On n'a de cesse que de l'imaginer se décrochant par défaut de fixation. Pour rassurer les hardis touristes, les longues perches sous les temples ne sont que du "pipo".
Durée de l'expédition pour accéder à ce temple, à partir de Pékin : huit heures.
J. K.
- Parlez-moi de l'usage des couleurs.
T.
- La Chine en noir et blanc, cela n'existe pas. On dit que les Chinois sont jaunes, erreur, ils sont rouges, comme les petits pois. Même les fleuves sont en couleur, il y a le fleuve bleu, le fleuve jaune, les algues vertes ont peint les lacs en vert. Le rouge dominant haut la main, les vendeurs de pots de peinture rouge doivent faire fortune, avec une petite exception pour la couleur "jade" ( le jade vaut une fortune et porte bonheur ).
Conclusion : si vous voulez " voir rouge ", il faut aller en Chine, ou à défaut apprendre en boucle la video. Même la marié était en rouge (le blanc étant mal vu, car couleur de deuil ). Ségolène, si tu nous lis …
J. K.
- Quid de la nourriture ?
T.
- L'exposition "Cuisiner et manger en Chine", du 19 juin au 30 septembre 2012 au Musée des Arts Premiers - Quai Branly ( Paris ) était à voir si vous n'aviez pas l'intention de vous rendre en Chine pour une dégustation, car la cuisine en Chine est autre que celle présentée dans les restaurants chinois en France. Autrement dit : bien meilleure.
• Premier point : j'ai pu survivre un mois sans avoir recours à un seul bol de riz.
• Deuxième point : les "œufs pourris", qui sont appelés "œufs de cent ans" sont simplement macérés un certain temps, et excellents. Il y a un truc, mais chut !
• Troisième point : sur le marché, j'ai trouvé des larves, des serpents et autres friandises, que je laisse à d'autres le soin d'expertiser.
• Quatrième point : le canard laqué, découpé devant vous ( en général le chef vient terminer son art à la table ) est superbe.
• Cinquième point : les raviolis sont délicieux.
A boire : du thé, avec ou sans cérémonie, du vin de riz …

À un restaurant, j'ai eu la bonne surprise d'être abordée par un serveur qui m'a fait le grand jeu de la présentation des plats, le tout bien sûr avec componction et en chinois. Renseignement pris, ce n'était pas le serveur, ni le maître d'hôtel, mais … un client ! Heureux et fier de communiquer avec une noble étrangère.
Comme cet autre client qui, après le dîner et en pleine nuit, m'a fait visiter dans sa voiture tout Datung, en chinois, mais en téléphonant de temps en temps à un ami qui parlait anglais, pour traduire ce qu'il ne pouvait pas exprimer par gestes.
Que dire enfin de cette famille proche de la Mongolie, avec qui j'ai taillé une bavette en écrivant sur le sable mon nom, etc. Ils étaient très étonnés de voir que je ne comprenais vraiment rien à leurs idéogrammes, alors que logiquement, puisque c'était écrit, c'était clair ! C'est ainsi que j'ai appris que pour "dire" le chiffre 3 par geste, ii ne s'agit pas d'aligner le pouce, l'index et le médium, mais uniquement les trois doigts centraux ! Pas si simple.
Jean Kersco
- Si cette immersion était à refaire ?
Titine
- Je la referais.
**********************************************
Grâce à l'aimable autorisation du Musée National de Chine, nous publions trois photos de superbes objets exposés à l'exposition du Musée des Arts Premiers.
Dear Jean Kersco,
谢谢您的邮件和对我馆的尊重。鉴于您申请的这三张照片作为博客之用,如您所陈述的既不含政治性,也不含商业性,建议您注明照片来源于“中国国家博物馆”就可以,谢谢
1 - Tripode ding en poterie
Cette marmite tripode revêt un aspect monumental. Son fond plat, son corps tronconique à ouverture rétractée bordée d'une lèvre en plan incliné repose sur trois pieds rapportés en forme de nageoire décorée d'incisions. Le vase a été façonné dans une argile rustique couleur chamois comportant des traces de feu. Il appartient à la culture de Liangzhu ( 3300-2600 avant J.-C. ) en Chine du Centre où naquit la riziculture. Sur le site de Qianshanyang d'où provient ce récipient furent également découverts en 1958 les plus anciens fragments de soie connus.
Cette marmite tripode revêt un aspect monumental. Son fond plat, son corps tronconique à ouverture rétractée bordée d'une lèvre en plan incliné repose sur trois pieds rapportés en forme de nageoire décorée d'incisions. Le vase a été façonné dans une argile rustique couleur chamois comportant des traces de feu. Il appartient à la culture de Liangzhu ( 3300-2600 avant J.-C. ) en Chine du Centre où naquit la riziculture. Sur le site de Qianshanyang d'où provient ce récipient furent également découverts en 1958 les plus anciens fragments de soie connus.
2 - Présentoir fu en bronze, inscrit Ke Jun Zi
Le fu est un récipient pour les céréales en usage à partir de la phase tardive de la dynastie des Zhou occidentaux ( 1045-771 avant J.-C. ). Il restera en circulation jusqu'à l'époque des Royaumes combattants ( 403-221 avant J.-C. ), remplaçant le gui utilisé auparavant pour une partie, sinon la totalité, des célébrations rituelles. Les fu partagent avec d'autres bronzes de la même époque, comme le xu et le dui, certains trait communs. En effet, ces récipients sont tous constitués de deux parties identiques, l'une au dessus de l'autre, reflétant l'édée chinoise antique de symétrie régissant le monde des échanges. On estime que la conception des bronzes de l'époque apportait en quelque sorite la matérialisation formelle de cette vision dualiste du cosmos. Ce concept de l'univers fait de deux forces opposées mais complémentaires, le yin et le yang, allait façonner le système de pensée traditionnel chinois pour les millénaires à venir.
Le fu est un récipient pour les céréales en usage à partir de la phase tardive de la dynastie des Zhou occidentaux ( 1045-771 avant J.-C. ). Il restera en circulation jusqu'à l'époque des Royaumes combattants ( 403-221 avant J.-C. ), remplaçant le gui utilisé auparavant pour une partie, sinon la totalité, des célébrations rituelles. Les fu partagent avec d'autres bronzes de la même époque, comme le xu et le dui, certains trait communs. En effet, ces récipients sont tous constitués de deux parties identiques, l'une au dessus de l'autre, reflétant l'édée chinoise antique de symétrie régissant le monde des échanges. On estime que la conception des bronzes de l'époque apportait en quelque sorite la matérialisation formelle de cette vision dualiste du cosmos. Ce concept de l'univers fait de deux forces opposées mais complémentaires, le yin et le yang, allait façonner le système de pensée traditionnel chinois pour les millénaires à venir.
3 - Vase balustre ping en or
Dynastie Ming, période Wanli ( 1573-1620 )
Fouilles du mausolée impérial Dingling, Changping, Pékin ( 1958 )
Dynastie Ming, période Wanli ( 1573-1620 )
Fouilles du mausolée impérial Dingling, Changping, Pékin ( 1958 )
Comme tous ceux et celles qui se lancent dans l'internet international, cette talentueuse jeune femme , diplômée d'une École d'Art appliqué, l' ESAT, a créé un site :
Elle travaille déjà pour les États-Unis, l'Australie, le Maroc ...
Vous avez dit "la crise" ?